Ce rapport est une façon de ressortir les maux dont souffre l’économie des pays de l’Afrique Subsaharienne afin de faire redémarrer la croissance de ces pays. Après le discours d’ouverture du gouverneur de la Banque Centrale, Louceny Nabé, Dr José Suleymane Représentant résident du FMI en Guinée a développé trois chapitres de ce rapport de son institution. Ces chapitres sont entre autre :
Rétablir les conditions propices à une croissance forte et durable, dans ce cadre de figure M. Suleymane à fustigé le rythme décroissance en Afrique subsaharienne qui reste hésitant, il a touché l’environnement extérieur de ces pays qui ne sont pas porteur. Selon lui dans ce contexte, il est urgent d’agir pour corriger les déséquilibres macroéconomiques dans les pays riches en ressources naturelles et pour préserver la dynamique actuelle dans le reste de la région.
Quant au deuxième point ou Chapitre 2 exposé par le représentant résident de FMI en Guinée, il s’agit de faire redémarrer la croissance en Afrique Subsaharienne, il cherche à mieux comprendre comment redynamiser l’activité économique à la lumière des points de retournement de la croissance que la région à connu dans quelle mesure ils ont été suivit par des épisodes de croissance durable depuis 1950.
Et enfin dernier chapitre, l’Economique informelle en Afrique subsahararienne ; l’économie informelle est une composante essentielle de la plupart des pays de la région, ou elle représente entre 25% et 65% du PIB et entre 30% et 90% de l’emploi non agricole. Ce chapitre trois a été à l’origine de tiraillement entre les cadres économistes guinéens et le représentant résidant du FMI en Guinée, car ces derniers soutiennent que le secteur informel dépasse le chiffre donné par celui du rapport. Pour coupé court, José Suleymane dira qu’au moment qu’ils ont mené ses études, ils se sont référé sur les statistiques de 1993 et en ce moment la population guinéenne n’atteignait pas les 12 millions d’habitants.
Après débat et discussions autour de ce rapport concernant le cas de la Guinée, le gouverneur de la banque centrale de la république de Guinée a prononcé son discours dans lequel, il affirme que le niveau de vie des guinéens à changer contrairement aux années précédantes, malgré que beaucoup reste encore à faire. Donc il faut être optimiste dans ce cadre, et ce rapport nous permettra d’accélérer les choses pour le bien être de la population guinéenne.
Il faut pour autant dire que ce rapport parle de tous les pays subsahariens au nombre de 45, il parle de leur secteur bancaire en pourcentage du PIB, l’exportation de bien et des services, masse monétaire au sens large, dépenses publiques, épargne nationale brute, croissance du PIB réel par habitant entre autres.